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    Du cours du 2 avril m’étaient restées 2 sensations :

    -      cette forme d’entraînement à partir du Tambo no kata avait été convaincante, elle permettait d’obtenir un travail très dynamique de la part d’un groupe restreint et de niveau hétérogène

    -      il est nécessaire d’amener les élèves à percevoir la différence entre l’attaque du Tambo, destinée à frapper et celle du Tanto, destinée à couper, le Tanto étant souvent utilisé comme un Tambo, sans sensation de coupe...

    J’ai donc travaillé sur une fiche analogue, basée sur le Tanto no kata, en abordant notamment les applications sur la 2ème phase, les 4 attaques en Sakate, que je n’ai jamais vu pratiquer en randori...

    Il faisait très chaud en ce début de soirée du 7 mai et il n’était pas question de porter le hakama, occasion pour le professeur d’être encore plus attentif à la forme de corps et à la tonicité des jambes des pauvres élèves à qui aucun à-peu-près n’est toléré!

    Finalement, le cours a duré 2 h et demie, les keikogis étaient trempés et leurs propriétaires rayonnant d’une agréable lassitude.

    Je me suis laissé emporter par l’enthousiasme, j’ai donné généreusement l’exemple et je me suis réveillé le lendemain avec une désagréable sensation à la cuisse droite, forte courbature ou petite déchirure qui semble persister, pourvu qu’elle s’efface au cours de la semaine à venir...

    Moralité : il faut savoir modérer ses ardeurs et s’économiser quand on a un droit d’entrée au club du 3ème âge depuis 2 ans.

     

    P.S. Si vous vous servez de ces fiches ou si vous vous en inspirez, pensez à donner votre avis à l’auteur, ça ne coûte qu’un peu de temps et ça lui donne envie de continuer.

     






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